Fondation Auschwitz - Sommaire et résumés du n° 131
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Quelques-unes de nos activités

Nouvelles vidéos

Éditorial : 2020, une année de commémorations à deux vitesses (Frédéric Crahay)


Chroniques
  • Expo : La voix des témoins
    Cette nouvelle exposition du Mémorial de la Shoah à Paris nous dévoile l’histoire du témoignage et de sa présence dans l’espace public à travers une frise composée de biographies, manuscrits originaux, archives sonores et filmiques, éclairée des commentaires de ses principaux historiens, intellectuels acteurs ou analystes.

  • Expo : Exposition Auschwitz.camp
    L’exposition « Auschwitz.camp » présentée à la Kazerne Dossin à Malines tente de répondre à plusieurs questions : Comment un camp de travaux forcés est-il devenu un centre de mise à mort pourvu de chambres à gaz ? Comment le colonialisme, les pensées racistes et la politique d’extermination ont-ils mené à l’un des événements les plus tragiques de notre histoire récente ?

  • Cinéma : La Juste Route (Ferenc Török)
    Dans La Juste Route, le cinéaste hongrois Ferenc Török se penche sur le retour des Juifs dans leur pays à l’issue de la Seconde Guerre mondiale. Un film sur le passé, qui semble toutefois étonnamment actuel à la lumière des récents événements en Hongrie.

  • Livre : Exils en Méditerranée. Jean Malaquais, un apatride réfugié à Marseille
    Planète sans visa, écrit par Jean Malaquais décrit Marseille en 1942 : quelques mois avant l'invasion de la zone libre par les Allemands. Entre descriptions réalistes et évocations lyriques, l’ouvrage brosse un terrible tableau de l'époque et de la faune bigarrée du Vieux-Port.

  • Documentaire : Procès d’un bourreau
    Ce documentaire retrace le procès de John Demjanjuk, soupçonné d'avoir été un ancien gardien nazi dans des centres de mise à mort.


Mots de mémoire



Portfolio : Jewish Presence in China and the Shanghai Ghetto



Grand entretien : Jacques Semelin  (propos recueillis par Nathalie Peeters)
Jacques Semelin, historien, psychologue, politologue français, directeur de recherche au CNRS, attaché au Centre d’Études et de Recherches internationales et professeur à Sciences Po, travaille depuis de nombreuses années sur la question des violences et crimes de masse. Il a accepté de répondre à nos questions.



Dossier : HISTORIOGRAPHIE DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE EN EXTRÊME-ORIENT

Pour beaucoup de gens, le 8 mai 1945 et la capitulation de l’Allemagne nazie est le chapitre final de la Seconde Guerre mondiale. Or, on oublie souvent que les mois entre mai et septembre 1945 furent décisifs pour le futur du monde, car dans le Pacifique les États-Unis et l’Empire du Japon continuèrent un combat acharné jusqu’à la capitulation sans conditions de ce dernier le 2 septembre 1945, date réelle de la fin de la Seconde Guerre mondiale.

  • Présentation (Frédéric Crahay)

  • Les Belges dans les camps d’internement japonais en Chine (1941-1945) (Edith Devel)
    Lorsqu’éclate la Secondaire Guerre mondiale, les Belges sont présents en Chine depuis de nombreuses années : ils sont diplomates, ecclésiastiques, chefs d’entreprises ou employés de sociétés belges. Avec la déclaration de guerre de la Belgique au Japon, leur situation bascule. Surveillance, réquisitions domiciliaires ou pécuniaires ; tous sont concernés par l’Occupation. Toutefois, il faut attendre 1943 pour assister aux premiers internements de Belges dans les Civil Assembly Centers.

  • Guerre bactériologique et cobayes humains : l’Unité japonaise 731 (Jean-Louis Margolin)
    L’Unité 731 située près de Harbin en Chine employait essentiellement des détenus chinois en tant que cobayes dans le but de tester les limites de la souffrance humaine, ainsi que des armes bactériologiques et chimiques. Malgré une relative notoriété dans la culture populaire américaine – des films, livres et des séries traitent du sujet –, l’Unité 731 reste largement méconnue du grand public européen.

  • A People’s Court: Emotion, Participant Experiences, and the Shaping of Postwar Justice at the International Military Tribunal for the Far East, 1946-1948 (Dr. James Burnham Sedgwick)
    De façon similaire à Nuremberg, les principaux dirigeants politiques et militaires japonais ont été jugés à Tokyo pour des crimes qu'ils ont commis (ou fait commettre) pendant la guerre. L'International Military Tribunal for the Far East (IMTFE) a condamné à mort sept accusés et prononcé de longues peines d'emprisonnement pour la majorité des autres. James Burnham Sedgwick de l'Université de Wolfsville (Canada) laisse de côté, dans cet article, l'histoire de l'institution et examine le déroulement du procès du point de vue des participants.

  • Les courants révisionnistes et leurs soutiens au Japon depuis 1945 (Arnaud Nanta)
    Le Japon et ses voisins notamment sud-coréen et chinois se sont enfoncés depuis les années 1980 dans des querelles portant sur l’histoire, la mémoire et le droit, à propos des responsabilités pour les faits commis avant août 1945. Ces faits relèvent de deux grandes catégories. Les responsabilités de guerre concernant la guerre de l’Asie et du Pacifique (1937-1945), conduite par le Japon en Chine, en Asie du Sud-Est y compris dans les colonies des Alliés (France, Royaume-Uni, Pays-Bas) et dans le Pacifique (États-Unis). L’autre catégorie concerne la responsabilité coloniale du Japon et ses possessions outre-mer entre 1895 et 1945. Si les faits de guerre furent jugés, ceux relevant de la colonisation ne furent jamais objet de procès.

  • Entretien avec Lydia Chagoll (propos recueillis par Frédéric Crahay)
    Entretien avec la chorégraphe et réalisatrice belge Lydia Chagoll rescapée à l’âge de 14 ans des camps japonais situés dans les Indes néerlandaises.



Varia
  • Correspondance illégale dans les camps de concentration nazis et les camps ITL du Goulag (Jean-Louis Rouhart)
    Quand on compare successivement la correspondance illégale des prisonniers des camps de concentration nationaux-socialistes et les écrits épistolaires illicites des détenus des lieux de détention administrés par le Goulag, on ne peut s’empêcher d’établir des comparaisons entre les deux types de correspondance.


  • Le Mythe bolchevik. Un révolutionnaire au cœur de la contre-révolution (Thomas Franck)
    Dans Le Mythe bolchevik, Alexandre Berkman, anarchiste révolutionnaire d’origine russe expulsé des États-Unis en 1919, livre ses appréciations au cours des deux années passées dans la jeune République soviétique de Russie sous forme de journal de bord.


Site mémoriel
  • Le premier rideau de fer. La clôture électrifiée à la frontière belgonéerlandaise pendant la Première Guerre mondiale (Prof. Dr Alex Vanneste)
    À partir du printemps 1915, les Allemands commencent à construire une clôture s’étendant de Knokke jusqu’au point où se touchent les Pays-Bas, la Belgique et l’Allemagne. Parfois aidés de « volontaires forcés » belges, les soldats du génie militaire allemand – les Pioniere – plantent des piquets sur près de 357 kilomètres avant d’y fixer entre 3 et 7 fils lisses ou barbelés… et de mettre ces derniers sous tension.

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À lire / à voir / à suivre

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