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Colette Braeckman, Hélène Dumas, Philippe Gaillard, Jean-Bernard Gakwandi, Aloys Kabanda, Speciosa Kanyabugoyi, Pauline Kayitare, Luc Lemaire, Brigitte Safari, Marc Schmitz, Joël Schuermans, Yves Theunissen, Damien Vandermeersch et cinq orphelin·e·s anonymes,

Rwanda 1994. Quand l’histoire s’écrit à la machette. Seul celui qui a traversé la nuit peut la raconter, Mons, Couleur livres, 2024, 175 p. (978-2-87003-938-0 ; 16,00 € + frais de port)

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histoire machette webCet ouvrage collectif a été publié avec le soutien de l'ASBL Mémoire d'Auschwitz / Fondation Auschwitz.

« Que le sang sèche vite en entrant dans l’Histoire », chantait Ferrat. Veillons à ce que la mémoire du massacre des Tutsi ne s’assèche pas à son tour… Pour résister à l’oubli, à l’indifférence, écoutons ceux qui ont « traversé la nuit » : les témoins directs, pour qui le mot « génocide » n’a rien d’abstrait.

Après avoir retracé le long chemin qui mena au désastre, l’ouvrage s’ouvre à la factualité brutale, aux récits des survivants.
Ils ont tous côtoyé une horreur sans pareille : les insultes, le bruit des coups et des armes, les hurlements de douleur, l’humiliation des viols répétés, la confrontation à la mort… Des scènes souvent racontées avec une effroyable précision.

La parole est ensuite cédée à certains « figurants » de cette tragédie. Ils étaient Casques bleus, chef de l’équipe du CICR, journaliste. Leurs observations, leurs réflexions affinent notre compréhension de ce qui s’est joué d’un bout à l’autre du pays, en ce sinistre printemps 1994, et elles donnent un autre visage au désespoir.
Après les témoignages écrits, place aux photos et caricatures, les voix les plus puissantes qui se levaient alors, car non tamisées par le filtre de la parole.

Vient enfin le temps d’après. « La vie après le génocide, ce que je peux en dire, c’est que je n’ai plus jamais ri », confesse une orpheline. Chez tous les rescapés, ces trois mois de terreur ont laissé des traces indélébiles.
D’autres, par leur activité professionnelle – journaliste, juge d’instruction, historienne ou militant de la mémoire – y ont également été confrontés. Le choc fut immense, le génocide a percuté leur vie et les accompagne désormais, eux aussi, au quotidien.

Puisse ce recueil irriguer notre mémoire, faire barrage à l’oubli.


Extraits et table des matières (PDF)


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Adeline Fohn, Henriette Englander, Nous étions des bébés cachés. Récits à l'ombre de la Shoah, Serge Tisseron (préface), Paris, Fabert, Coll. Penser le monde de l’enfant, 2016, 250 p. (25,00 € + frais de port)


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fohn englander bebes caches webL'ASBL Mémoire d'Auschwitz soutient la diffusion de cet ouvrage sur les bébés cachés.

Durant la Seconde Guerre mondiale, de nombreux bébés ont été séparés avant l'âge de deux ans de leurs parents pour être cachés, car ils étaient juifs, et ainsi leur donner une chance de survivre.

Encore aujourd'hui, leur histoire reste dans l'ombre de la Shoah.
Souvent perçus comme n'ayant pas souffert, ils ont longtemps pensé ne rien pouvoir dire faute de souvenirs et de mots.
Les bébés cachés peuvent-ils raconter ce qu’ils ont vécu ? Quelles traces gardent-ils des séparations ? Comment se sont-ils reconstruits ?

Aucun ouvrage n'a approfondi ce sujet jusqu'à présent. Le défi des auteures est de montrer qu'il est possible de recomposer le puzzle de leur histoire et de trouver des traces de ce vécu précoce pour le mettre en mots malgré l'absence de langage au moment des événements.

Onze témoins nés entre 1941 et 1944 dévoilent, avec sensibilité et authenticité leur histoire, leurs souffrances, mais aussi les ressources sur lesquelles ils se sont appuyés pour continuer à grandir et à vivre.

Tels des passeurs de mémoire, deux psychologues de générations différentes se sont mises à leur écoute pour mettre en lumière l'impact psychologique de ces traumatismes ainsi que la possible reconstruction des plus jeunes et des plus vulnérables survivants de la Shoah.


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Johannes Blum, RÉSISTANCE – Père Bruno Reynders – Juste des Nations, Bruxelles, Les Carrefours de la Cité, 1993, 300 p. (20,00 € + frais de port)

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blum pere bruno reynders webL'ASBL Mémoire d'Auschwitz soutient la diffusion de cet ouvrage sur le Bénédictin Bruno Reynders, reconnu comme « Juste parmi les nations » en 1964 pour avoir sauvé 390 enfants juifs en Belgique.


Peu connu, ce personnage exceptionnel pourrait continuer à nous inspirer actuellement par son courage, sa prise de responsabilité et par son efficacité, l'ensemble empreint d'un esprit de profonde humanité et de grande générosité,

En effet, le Père Bruno Reynders est touché très tôt par la radicalisation antisémite du régime nazi, et ce, même avant l’invasion de la Belgique et l’occupation de celle-ci, et avant le début des déportations.
Un séjour en Allemagne en 1936 lui fait voir à Francfort à quel point les Juifs sont exclus de la société.

Il reste profondément marqué, blessé, et lorsque les Allemands envahissent la Belgique et commencent à préparer l’exclusion et la déportation des Juifs, il s’engage aussitôt à porter secours à ceux-ci.

Le Père Bruno fait partie du réseau Van Den Berg, mais il entretient lui-même un très vaste réseau de contacts avec des familles et institutions lui permettant de trouver des caches pour les enfants et adultes juifs.
Il se déplace à cette fin tous les jours, non seulement pour trouver de nouveaux lieux d’accueil (caches), mais aussi pour remettre de fausses cartes d’identité ou de précieux timbres de ravitaillement.

À plusieurs reprises, il risque l’arrestation notamment pour avoir été pisté par le fameux Jacques.

Il s’occupe aussi du suivi, notamment concernant l’accueil décent de ses « protégés », qu’il déplaçait au besoin lorsqu’il estimait que tel ou tel n’était pas correctement accueilli.

Plus de 300 enfants et adultes juifs ont été ainsi sauvés par la main protectrice de cet homme d’exception, qui les accompagnait autant que c’était possible d’une affection particulière, partageant les préoccupations de chacun pour sa famille, les siens.

Un très grand nombre de témoignages attestent sa grande générosité, sa profonde humanité qui renforçait ceux qui étaient dans la détresse, ce qui leur fut d’un profond secours pour continuer à vivre après la guerre.

Le Père Bruno Reynders est décédé en 1981 à Ottignies, et ce, en toute discrétion, comme il était resté discret après la guerre.

Plus d'informations sur le livre (PDF)


Vous pouvez aussi consulter la page Wikipédia sur le Père Bruno Reynders


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 Frédéric Dambreville, Les Disparus de Gatti de Gamond, Bruxelles, CFC-éditions, 2022, 790 p. (978-2-87572-075-7 ; prix conseillé en Belgique : 28,00 €)

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dambreville gatti gamond webL'ASBL Mémoire d'Auschwitz a soutenu la publication de cet ouvrage sur la rafle du pensionnat Gatti de Gamond dont notre collègue Daniel Weyssow a rédigé la préface.


« J’habite sur une scène de crime où ne subsiste aucun indice. »

À la fois quête et enquête, ce livre rend compte d’une rafle d’enfants et d’adultes juifs, arrêtés le 12 juin 1943 au pensionnat laïque Gatti de Gamond, à Bruxelles, puis déportés à Auschwitz-Birkenau.
Combien étaient-ils ? D’où venaient-ils ? Qui étaient-ils ?

Peintre et graveur, Frédéric Dambreville a mené une longue enquête qu’il rapporte avec minutie.
Il entraîne le lecteur sur toutes les pistes où il s’engage et, de la sorte, il tente plus qu’une reconstitution des faits. Le passé et le présent se mêlent dans une « traque à rebours » qui lui fait explorer la ville, questionner les archives au microscope et l’espace « muet » de son logement.

Rencontrer les témoins. Nommer les victimes, retrouver leur histoire. Identifier les bourreaux.

Pièce maîtresse apportée à la compréhension de la « guerre aux enfants », éclairage sur une partie du processus nazi de mise à mort, ce livre est une tentative pour saisir la réalité des victimes « en pleine vie ».



Plus d'informations sur le livre (PDF)

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Adolphe Nysenholc, L'enfant sauvé. De la cache au statut, Bruxelles, Didier Devillez Éditeur, 2018, 270 p. (35,00 € + frais de port)

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nysenholc enfant sauve webElie Wiesel, ancien déporté, a demandé pardon de ne pas avoir été conscient de la souffrance endurée par les enfants survivants. C’était en 1991, à New York, lors de la première réunion internationale des enfants cachés, à laquelle participait Sophie Rechtman, fondatrice de L’Enfant caché-asbl.

Après le rescapé des camps et le résistant, l’enfant caché n’a été reconnu comme tel qu’un demi-siècle plus tard. Les enfants de la guerre sont demeurés longtemps cachés dans la paix.

Ce livre, qui retrace leur histoire et leurs combats à travers l’association L’Enfant caché, rend aussi hommage à leurs sauveurs, dont ils ont reçu en héritage, la résilience.


Le livre offre des études originales d’Histoire et des analyses inédites de Psychologie des enfants cachés.

Il est illustré par une anthologie de récits et par un album de photos de sauveurs juifs et de Justes parmi les Nations.

L’Enfant caché-asbl est une grande famille qui dépasse les clivages politiques et religieux.


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Paul De Keulenaer, Les oubliés de la guerre. L'histoire de Regina et Georges, enfants juifs cachés, Bruxelles, Academic and Scientific Publishers (ASP), Coll. « Les témoignages », 2020, 278 p. (30,00 €)

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de keulenaerÀ la veille de la Seconde Guerre mondiale, on estime le nombre de Juifs vivant en Belgique à 70 000. Entre 1942 et 1944, beaucoup d'entre eux ont été déportés en 28 convois depuis le SS-Sammellager Mecheln (la Caserne Dossin). Cependant, grâce à l'aide d'organisations et de particuliers, d'autres ont pu entrer dans la clandestinité et échapper à leur terrible destin.

Les oubliés de la guerre est l'histoire de Regina Sluszny et Georges Suchowolski (plus tard devenu le mari de Regina), deux de ces enfants juifs cachés auxquels on n’a guère porté d’attention pendant des années : ils avaient survécu, ils avaient eu de la « chance » par rapport à ceux qui sont morts dans les camps de concentration et d'extermination.

Ce n'est qu'en 1991, avec la création du premier Rassemblement international d'enfants cachés pendant la Seconde Guerre mondiale (New York), que les enfants oubliés de l'époque ont progressivement obtenu une voix, un visage et un forum public qui leur ont permis de commencer à faire face à leurs traumatismes.

Pendant de longues années, Regina et Georges, eux aussi, sont restés dans un silence laborieux, qu’ils ont traité douloureusement afin de sortir leur histoire et – enfin – retrouver une identité perdue.

Les oubliés de la guerre est le fruit de nombreuses rencontres, conversations et réflexions, d'un dialogue avec l'auteur qui, avec une grande empathie, s'est plongé dans un passé qui a parfois difficilement livré ses secrets.

Paul De Keulenaer a été enseignant du GO! (Enseignement de la Communauté flamande), chargé de cours à l'École européenne de Bruxelles II et est administrateur de la Fondation Auschwitz / Mémoire d'Auschwitz ASBL. Il a notamment publié Regine Beer: KZ A 5148 et Regine Beer: Mijn leven als KZ A 5148. Il a également collaboré à des publications telles que De laatste getuigen uit concentratieen vernietigingskampen.

 

ISBN: 978-90-5718-953-1

Prix : 30,00 €

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auschwitz notre histoire webDans ce tout nouveau documentaire sur Auschwitz, six témoins néerlandophones racontent leurs expériences pendant les années turbulentes de 1940-1945.

Max Hamburger, Thérèse Granek, Nelly Basch, Régine Beer, Bloeme Evers et Dov Nasch parlent de leur déportation à Auschwitz et du difficile retour à la vie ensuite.

Le documentaire est le résultat d’un effort conjoint entre la Fondation Auschwitz et la Fondation Smolinski, basée aux Pays-Bas.

Il sera bientôt disponible en ligne avec des sous-titres en néerlandais, en français, en anglais et bilingues en néerlandais-français.

Le 12 novembre 2021, le documentaire sera présenté en avant-première au public lors des journées Remember 75+ à Bruxelles, une activité de commémoration de la Fondation Auschwitz.



Bande-annonce :

 

 

le passage du témoinEn 1995, le photographe André Goldberg et la sociologue Dominique Rozenberg avaient publié le livre volumineux Le passage du témoin paru aux éditions La lettre volée. Le livre présentait les photos et les témoignages de trente-sept rescapés.
Plus de vingt ans plus tard, la majorité des rescapés ayant disparu, une nouvelle édition s’imposait.

Pour accompagner la réédition du livre en 2018, un volet pédagogique y a été ajouté avec un livret du même nom, ainsi qu’une exposition réalisée avec le concours de l’ASBL Mémoire d’Auschwitz et le Musée juif de Bruxelles.

Le catalogue, avec les photos originales ainsi que les retranscriptions des témoignages des trente-sept rescapés originels, a été pourvu de nouvelles introductions (préface de Stephen Naron, directeur du projet Video archive for Holocaust Testimonies [Yale University] ; avant-propos de Zahava Seewald, ancienne conservatrice au Musée juif de Belgique et commissaire de l’exposition à Kazerne Dossin à Malines ; historique de Frédéric Crahay, directeur de l’ASBL Mémoire d’Auschwitz) ainsi que d’un glossaire et d’une chronologie.


André Goldberg (photographies), Dominique Rozenberg (témoignages recueillis), Le Passage du Témoin. Portraits et témoignages de rescapés des camps de concentration et d’extermination nazis, Lettre volée / co-édition Mémoire d’Auschwitz ASBL / Fondation Auschwitz, 2018, 248 p. (978-2-87317-501-6 ; prix conseillé en Belgique : 25,00 €)

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L'ASBL Mémoire d'Auschwitz a soutenu la publication de cet ouvrage.

 

dossin schram webDe 1942 à 1944, 25 000 Juifs et 350 Roms (Tsiganes) sont déportés de la Caserne Dossin (Malines) à Auschwitz-Birkenau. Comme Drancy ou Westerbork, la fonction de ce rouage essentiel de la Shoah consiste à rassembler les déportés raciaux en vue de leur déportation génocidaire. Un voyage sans retour pour 95 % d’entre eux.

Pour la première fois, l’histoire de ce camp de rassemblement fait l’objet d’une étude scientifique approfondie, menée à la manière d’une enquête policière. Des sources nouvelles ou inexploitées, des témoignages, des dépositions judiciaires et des illustrations, mettent en lumière les parcours de tous les acteurs en présence : les SS, qui règnent en maîtres absolus, leurs auxiliaires et leurs victimes, juives et roms.

Laurence Schram analyse tous les aspects de la vie quotidienne des internés, depuis leur arrivée à Dossin jusqu’à leur embarquement dans les trains qui les déportent. Le fonctionnement du camp, la faim, le manque d’hygiène, les mauvais traitements, la collaboration ou la résistance, la situation particulière des Roms, l’organisation des convois, la libération du camp… sont autant de thèmes que le lecteur pourra découvrir dans cet ouvrage de référence.


Proche collaboratrice de Maxime Steinberg, Laurence Schram a participé à la réalisation du Musée Juif de la Déportation et de la Résistance (1995), où elle a assuré la direction du centre de documentation. Auteure d’études sur la Shoah en Belgique, elle est aujourd’hui Senior Researcher au centre de documentation du musée Kazerne Dossin. Son doctorat consacré à l’histoire de la caserne Dossin (2015) a reçu le Prix Natan Ramet et le Prix Fondation Auschwitz - Jacques Rozenberg, en 2016.




Laurence Schram, Dossin. L'antichambre d'Auschwitz, Bruxelles, Racine, 2017, 350 p. (978-2-39025-006-7 ; prix conseillé en Belgique : 24,95 €)

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L'ASBL Mémoire d'Auschwitz a apporté un soutien financier à la publication de cet ouvrage.

 

kalisz rafle marollesLe dernier opus de Richard Kalisz porte sur la mémoire juive du quartier des Marolles à l’approche de la Seconde Guerre mondiale et durant celle-ci.

De l’accueil des réfugiés fuyant le nazisme aux rafles menées par les polices de l’occupant, des enfants cachés à l’Association des Juifs en Belgique, les nombreuses interviews menées auprès de témoins, de membres des familles des victimes, d’historiens, de représentants d’associations mémorielles et d’habitants du quartier se déploient en une fresque sonore rappelant par le menu ces années d’effroi.

Le rappel de la déportation des Juifs passe également aujourd’hui par la pose de pavés de mémoire, autre fil conducteur d’une enquête visant à l’expression d’une mémoire qui se devait d’être dite.

Richard Kalisz, Documentaire radiophonique « L’été 42. Rafle dans les Marolles »

Coût du coffret de 8 CD : 30,00 €

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