Éditorial : 2020, une année de commémorations à deux vitesses (Frédéric Crahay)


Chroniques






Mots de mémoire



Portfolio : Jewish Presence in China and the Shanghai Ghetto



Grand entretien : Jacques Semelin  (propos recueillis par Nathalie Peeters)
Jacques Semelin, historien, psychologue, politologue français, directeur de recherche au CNRS, attaché au Centre d’Études et de Recherches internationales et professeur à Sciences Po, travaille depuis de nombreuses années sur la question des violences et crimes de masse. Il a accepté de répondre à nos questions.



Dossier : HISTORIOGRAPHIE DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE EN EXTRÊME-ORIENT

Pour beaucoup de gens, le 8 mai 1945 et la capitulation de l’Allemagne nazie est le chapitre final de la Seconde Guerre mondiale. Or, on oublie souvent que les mois entre mai et septembre 1945 furent décisifs pour le futur du monde, car dans le Pacifique les États-Unis et l’Empire du Japon continuèrent un combat acharné jusqu’à la capitulation sans conditions de ce dernier le 2 septembre 1945, date réelle de la fin de la Seconde Guerre mondiale.









Varia
  • Correspondance illégale dans les camps de concentration nazis et les camps ITL du Goulag (Jean-Louis Rouhart)
    Quand on compare successivement la correspondance illégale des prisonniers des camps de concentration nationaux-socialistes et les écrits épistolaires illicites des détenus des lieux de détention administrés par le Goulag, on ne peut s’empêcher d’établir des comparaisons entre les deux types de correspondance.


  • Le Mythe bolchevik. Un révolutionnaire au cœur de la contre-révolution (Thomas Franck)
    Dans Le Mythe bolchevik, Alexandre Berkman, anarchiste révolutionnaire d’origine russe expulsé des États-Unis en 1919, livre ses appréciations au cours des deux années passées dans la jeune République soviétique de Russie sous forme de journal de bord.


Site mémoriel
  • Le premier rideau de fer. La clôture électrifiée à la frontière belgonéerlandaise pendant la Première Guerre mondiale (Prof. Dr Alex Vanneste)
    À partir du printemps 1915, les Allemands commencent à construire une clôture s’étendant de Knokke jusqu’au point où se touchent les Pays-Bas, la Belgique et l’Allemagne. Parfois aidés de « volontaires forcés » belges, les soldats du génie militaire allemand – les Pioniere – plantent des piquets sur près de 357 kilomètres avant d’y fixer entre 3 et 7 fils lisses ou barbelés… et de mettre ces derniers sous tension.

Librairie


À lire / à voir / à suivre