Deux nouvelles analyses d'Éducation permanente destinées au grand public viennent d'être publiées sur notre site web.

Depuis 2003, l’action de l’ASBL Mémoire d’Auschwitz s’inscrit dans le champ de l’Éducation permanente.

À travers des analyses et des études destinées au grand public, l’objectif est de favoriser et de développer une prise de conscience et une connaissance critique de la Shoah, de la transmission de la mémoire et de l’ensemble des crimes de masse et génocides commis par des régimes autoritaires. Par ce biais, nous visons, entre autres, à contrer les discours antisémites, racistes et négationnistes.

Persuadés que la multiplicité des points de vue favorise l’esprit critique et renforce le débat d’idées indispensable à toute démocratie, nous publions également des analyses d’auteurs extérieurs à l’ASBL.

Pour en savoir plus sur l'éducation permanente :
- Service de l'Éducation permanente : www.educationpermanente.cfwb.be
- Direction générale de la Culture : www.culture.be


Dans le cadre des 75 ans de la Libération des camps nazis, nous venons de publier :

Le texte de Claire Pahaut (Historienne, Groupe Mémoire – Groep Herinnering) : La libération des Dames de Ravensbrück (PDF)

Résumé : C’est aux abords de Fürstenberg, entouré de forêts et de lacs, qu’Himmler fait construire, en janvier 1939, le camp de concentration de Ravensbrück, le seul camp destiné à la détention des femmes. Nous commémorons cette année les 75 ans de sa libération, ces jours où les déportées d’hier ont dû se remettre dans la peau des vivants, rêver d'un monde nouveau, d'une société nouvelle.


Et celui de notre collaboratrice Sarah Timperman : Des marches de la mort au retour à la vie. Témoignages de rescapés juifs sur la fin des camps (PDF)

Résumé : Le monde a entamé, depuis la fin du mois de janvier 2020, les commémorations liées aux 75 ans de la libération des camps. Le 27 janvier 1945, les soldats de l’Armée rouge découvraient Auschwitz, tandis qu’entre le 4 avril et le 6 mai, les troupes anglo-américaines libéraient les camps se trouvant au centre de l’Allemagne. Entre ces deux moments, les déportés ont vécu ce que la plupart considèrent comme les mois les plus éprouvants de leur déportation. Leur retour fut également une épreuve et la réadaptation à la vie, longue et difficile. À l’heure où les derniers témoins disparaissent, revenons sur cette période à travers le récit de trois survivants : Maurice Pioro, Génia Goldgicht et Henri Kichka.


L'ensemble des analyses déjà publiées en 2020 sont consultables sur cette page.